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Au fil des ans, l’agriculture a évolué et de nos jours, il est courant de voir des gens créer un jardin urbain. Ils cultivent des légumes frais et organiques sur le toit ou les balcons des bâtiments en ville.
L’agriculture dans les espaces verts urbains est répandue
De nos jours, davantage de gens se lancent dans l’agriculture en zone urbaine. En effet, des fruits et légumes de saison sont cultivés sur les terrasses, les toitures de bâtiments ou dans des jardins partagés. Selon les recherches liées à l’agriculture menées par Earth’s Future, faire du jardinage écologique et organique pourrait partiellement assurer notre sécurité alimentaire.
Une étude sur le rendement des légumes en jardin urbain
Le but de l’enquête susmentionnée était de comparer les taux de rendement de l’agriculture dans un petit jardin urbain avec ceux issus de cultures traditionnelles (dans les champs ou un verger à la campagne). Elle a pris en compte les carrés potagers cultivés sur les toits dans des pays d’Europe et d’Amérique du Nord, entre autres.
Il est avantageux de cultiver un potager bio en ville
La culture de certains aliments comestibles (riches en vitamines et minéraux) dans les zones urbaines apporte des rendements égaux ou supérieurs à ceux de plantations issues de l’agriculture conventionnelle. En effet, les concombres et les cornichons ont plus de chances de s’épanouir en ville, au milieu des bâtiments, qu’en campagne. Idem pour les tomates et les poivrons.
Divers aspects qui impactent la productivité des plants végétaux
Durant l’étude sur le thème de l’agriculture, il a été constaté que la productivité alimentaire varie selon le lieu et la manière dont les plantes potagères sont cultivées. Il est, par exemple, possible de récolter plus de tomates-cerises lorsqu’on les a fait pousser en hydroponie. En outre, la laitue, les pois et les haricots s’épanouissent dans les potagers urbains verticaux. Dans ces derniers, l’on peut également planter de fines herbes aromatiques, dont du persil, du thym, du basilic et de la ciboulette.
Avec l’ETX Studio/AFP